Depuis de nombreuses années à travers le monde, Gillette mène des opérations visant à déconstruire les stéréotypes liés à la masculinité.
Ainsi, en octobre 2020, Gillette dévoilait une campagne publicitaire, composée de 3 films réalisés par les jeunes diplômés de l’école Kourtrajmé. Un tremplin inédit pour ces jeunes réalisateurs, qui ont pu apporter leur savoir-faire en la matière et leur oeil sur ce que c’est, pour eux, que d’être un homme. Homosexualité, relations amoureuses, paternité, autant de thématiques placées sous les feux des projecteurs pour illustrer ce que sont les masculinités.
Depuis maintenant 1 an, Gillette soutient les jeunes réalisateurs de demain et est engagé auprès de l’école Kourtrajmé.
Ainsi, ces derniers mois, les étudiants de l’école ont continué à réfléchir sur les masculinités et livrent aujourd’hui le fruit de leur travail, à savoir 2 courts-métrages et 1 courtdocumentaire. Cette fois-ci, les étudiants ont mis en avant les thèmes du deuil et du passage de la vie d’ado à la vie d’homme, les doutes et injonctions professionnelles qui pèsent sur les hommes, et, enfin, la K-pop, mouvement culturel en plein boom en France. Gillette est fier de présenter ces projets et de soutenir le cinéma de demain. Car un cinéma qui valorise la diversité et la singularité des masculinités, c’est une contribution de poids pour faire changer les mentalités et déconstruire les idées reçues.
C’est l’histoire d’un homme en pleine de reconversion professionnelle, traversé par des doutes tant le challenge dans lequel il s’apprête à se lancer est audacieux. C’est grâce au soutien de sa fille, à l’amour de sa famille, aux souvenirs clefs de l’enfance, que l’homme trouve le courage de se lancer. Les injonctions sociétales qui pèsent sur la vie professionnelle des hommes sont nombreuses. Savoir ou pouvoir s’en détacher demande un courage inestimable.
Durée : 4.34 minutes
Court-métrage : Film muet avec musique prédominante
Ce film, c’est un peu mon histoire personnelle. J’ai tout arrêté pour faire du cinéma. Je me souviens qu’en octobre 2019, au moment où j’ai eu mon audition pour l’école Kourtrajmé, je n’étais pas sûr de moi. Je me posais plein de questions sur la suite et finalement c’est mon entourage qui m’a encouragé et qui m’a dit de foncer.
Je suis un mec qui a toujours vécu dans le regret. J’ai fait des études pour satisfaire mes parents, les rassurer. J’avais une vie confortable, 32 ans, fonctionnaire avec un bon salaire. Mais je n’étais pas satisfait de ma vie, je ne me sentais pas à ma place. Repartir à zéro m’a fait peur, c’était vertigineux. J’ai connu des galères, j’ai eu peur de voir les économies qui s’envolent, le confinement qui s’impose du jour au lendemain...
Mais je ne ferai machine arrière pour rien au monde. Ce film est un miracle, une opportunité inédite. C’est la première fois que je travaillais pour quelqu’un d’autre que moi. Tous les courts-métrages que j’ai faits étaient d’abord pour me satisfaire moi et ensuite les présenter aux gens. Là, je n’étais pas tout seul, il fallait que ça me satisfasse et que ça satisfasse l’équipe Gillette : le challenge c’était ça. Mais cette cohésion d’équipe sur le tournage, cette bonne énergie, c’était un plaisir immense. Je suis reconnaissant de cette aventure, de cette opportunité. J’associe Gillette au premier rasage, et le premier rasage au signe d’être grand. Je vois Gillette comme mon passage de vie de petit garçon à celle d’un homme”
Quand la perte d’un père et le deuil qui s’ensuit, font basculer la vie, de l’adolescence à la vie d’homme. Tu seras un homme mon fils, c’est d’abord le portrait d’un désarroi d’une mère et son fils. Car on n’est jamais prêt à perdre un mari, un père. Et puis un jour, le déclic se fait. Parce que la vie doit continuer et que le deuil fait évoluer. On suit alors un adolescent, tiraillé par la vie sociale de ses amis qui font la fête sans lui, et le chagrin trop lourd à la maison. Un adolescent qui comprend alors que c’est lui, à présent, l’homme de la maison, qu’il doit prendre soin de sa mère mais aussi de lui. L’adolescent devient alors un homme, et ce nouveau rôle, suite logique de la vie qui suit son cours, lui va à merveille.
Durée : 6.19 minutes
Court-métrage : Film muet avec musique prédominante
Ce projet, je l’avais dans la tête depuis longtemps et c’est assez incroyable de voir qu’avec le tournage, les images, les acteurs, ça prend vie et ça devient réel. Gillette nous a demandé : “qu’est-ce qu’être un homme aujourd’hui ?”. Je me suis posé la question moi-même, en tant que femme. Et j’ai tout de suite voulu parler de la famille, car pour moi c’est le plus important.
Un homme aujourd’hui, c’est justement quelqu’un qui fait attention aux autres, c’est quelqu’un de respectueux, qui fait des choses simples, qui paraissent évidentes, mais qui ne l’étaient pas il y a quelques années : faire les courses, préparer les repas, s’occuper du ménage. Cela peut paraître cliché, mais cette évolution est fondamentale pour notre société.
À travers ce film, je tenais réellement à montrer toute l’évolution du personnage, son quotidien d’ado, qui se laisse aller, et qui devient petit à petit l’homme de la maison. J’ai été ravie de participer à ce projet. Déjà parce que je suis une fille, et que ma vision est peut-être différente. Et aussi parce que la marque Gillette, qui a véhiculé des clichés d’hommes beaux et forts il y a maintenant plusieurs années, a réussi à changer et à véhiculer des messages positifs pour mettre fin aux stéréotypes. Et je suis fière d’avoir contribué à ce changement.”
Être un homme, prendre soin de soi... à chaque culture du monde, ses codes. Avoir une peau lisse, les cheveux coupés à la dernière mode, voire même teints dans des couleurs vives, une silhouette mince, se maquiller. Se lever, se faire un soin du visage, choisir la couleur de son fard à paupières ou de son rouge à lèvres, c’est ça aussi, être un homme.
Avec ce documentaire, Ming Fai Sham Lourenço nous plonge dans l’univers de la K-pop, de ses standards de la beauté masculine, si peu représentés dans les médias occidentaux. En suivant Allan, star de la K-pop, chacun ouvre les yeux sur l’immensité des facettes de la masculinité, et l’importance de faire fi des stéréotypes véhiculés par nos sociétés, pour réussir à prendre confiance en soi, s’assumer... et réussir à être l’homme que l’on est réellement.
Durée : 3.47 minutes
Court-métrage : Court documentaire
Ce film est une histoire personnelle mais qui est finalement universelle. La masculinité en 2021, c’est aussi ça. Quelles que soient nos idées préconçues, un homme qui prend soin de soi, se maquille, est un homme. Quand Gillette est venu à l’école pour nous parler de ce projet, sur la vision de la masculinité en 2021, en nous disant “les idées sont libres, proposez ce que vous voulez”, la k-pop m’est venue naturellement à l’esprit. Car on y aborde des codes de beauté qui sont différents mais qui ne sont pas pour autant moins masculins. Moi je suis d’origine asiatique, je n’ai pas de barbe fournie, et est-ce que pour autant je suis moins viril si je suis imberbe et un peu gringalet ? Non, moi je ne trouve pas. Et c’est vrai que moi, quand j’ai découvert la k-POP, j’ai pu avoir des a priori, des idées reçues parce que les stars se maquillent, ont des comportements féminins, androgynes, mais pour autant elles ne sont pas moins viriles.
Être un homme, prendre soin de soi... à chaque culture du monde, ses codes. Avoir une peau lisse, les cheveux coupés à la dernière mode, voire même teints dans des couleurs vives, une silhouette mince, se maquiller. Se lever, se faire un soin du visage, choisir la couleur de son fard à paupières ou de son rouge à lèvres, c’est ça aussi, être un homme.
Avec ce documentaire, Ming Fai Sham Lourenço nous plonge dans l’univers de la K-pop, de ses standards de la beauté masculine, si peu représentés dans les médias occidentaux. En suivant Allan, star de la K-pop, chacun ouvre les yeux sur l’immensité des facettes de la masculinité, et l’importance de faire fi des stéréotypes véhiculés par nos sociétés, pour réussir à prendre confiance en soi, s’assumer... et réussir à être l’homme que l’on est réellement.
Il faut arrêter avec les stéréotypes, ce n’est pas parce que tu as des traits un peu efféminés, ou que tu aimes te maquiller, que ça ne fait plus de toi un homme. L’approche et la volonté de Gillette, de changer la vision sur la masculinité de manière inclusive, et la confiance qu’ils m’ont donnée, font que je suis fier aujourd’hui de présenter ce projet, mon projet.
Se raser prend une dimension particulière : seul face au miroir, c’est un moment du cheminement personnel
qui donne la force nécessaire pour se projeter dans la vie. Avec conviction.
Trois jeunes réalisateurs issus de la promotion 2018 de l’école ont revisité tant sur la forme que sur le fond le moment du rasage.
La quête de « perfection au masculin » prend des contours inédits et personnels, à travers trois portraits d’hommes d’aujourd’hui.
Qu'est-ce qui compte le plus pour moi ?
Ma famille ou ma carrière ? Montrer ses sentiments, est-ce que c'est acceptable ? Est-ce que mes choix de vie seront acceptés ? Plus qu'hier, les hommes se posent des questions.
Face à la glace, sans artifice
Mettre en scène ces questionnements, lors de moments d’introspections matinaux où le rasage joue un rôle à part, c’est l’approche retenue par Gillette pour célébrer les hommes et leurs choix de vie. Le rasage est un temps pour soi, un moment où l'on ose regarder en face l'homme dans le miroir. Un moment qui donne la force d'avancer et de se projeter dans ses choix en harmonie avec qui on est vraiment, au fond de soi.
Les rapports homme-femme, parents-enfants, ont été bouleversés en une génération.
Loin des clichés, un homme « viril » se prépare à un challenge qu’on imagine professionnel. Ses soucis sont pourtant tout autre.
Durée : 30 secondes
Court-métrage : Campagne de publicité
Chez Kourtrajmé, on travaille, on travaille, on travaille, sans se rendre compte que le concret peut arriver. Toute ma vie j’ai envié le futur, je me disais que j’avais envie d’être tel niveau à tel âge, etc. Mais le 11 octobre, je vais faire « pause », pour kiffer le moment.
Il existe autant de façons d’être un homme que d’hommes sur terre. Ressembler à l’homme que vous êtes, c’est assumer vos différences quelles qu'elles soient. C'est vous regarder dans le miroir après vous être rasé, et être fier de ce que vous y voyez. Et si c’était ça la perfection au masculin ?
Dans ce film, j’utilise un effet précis, la caméra lock track : un effet qui permet de verrouiller un objet au centre de l’image. Tout l’environnement autour bouge un peu, mais pas l’objet central. Cela permet d’avoir un effet de vibration et de tremblement, c’est un peu ce qu’on ressent avant de monter sur scène ! J’ai voulu transmettre cette sensation de foule, de tremblements, de stress. J’étais hyper fier de tourner cette publicité pour Gillette. C’est l’aboutissement des plusieurs mois passés à l’école.
Pour un rasage sans stress et sous contrôle, Vincent utilise le rasoir Fusion5 ProGlide. Grâce à son confort imbattable et ses 5 lames anti-friction, il profite d'un rasage de près à la fois précis et doux. Le gel ProGlide Hydratant améliore la glisse du rasoir et protège la peau contre les irritations.
L’homme d’aujourd’hui n’est plus tant valorisé par sa capacité à séduire en nombre, que par celle qu’il a d’exprimer sa sensibilité, ses doutes, ses hésitations.
En cette fin de journée, un jeune homme se prépare à revoir la personne qui l’obsède tant. Depuis des mois, il ne sait pas comment l’aborder. Ce soir, c’est le grand soir.
Durée : 30 secondes
Court-métrage : Campagne de publicité
J’étais ravie de tourner cette publicité qui est ma première publicité TV. À mon âge, c’est super d’avoir accès à ce type de projet.
Dans mon film, j’ai associé le fait de se raser au skateboard, à la ride. J’ai donc réalisé de nombreux plans en mouvement. L’univers du skate était aussi un bon moyen pour incarner les nouvelles masculinités ici associées à la contre-culture et la liberté. Par ailleurs, j’ai voulu dégenrer et non-sexualiser mes personnages, notamment dans leurs styles vestimentaires : Il faut sortir du cliché du couple gay très apprêté ou de la jolie fille habillée « sexy ».
Pour rencontrer Camille sans irritations après-rasage, notre protagoniste compte sur le rasoir SkinGuard Sensitive FlexBall qui procure un rasage particulièrement doux, mais aussi précis grâce à sa tête flexible. Le gel SkinGuard Sensitive à l'aloe vera protège la peau et apporte fraîcheur pendant et après le rasage.
Les « jeunes » sont souvent présentés comme d’éternels indécis. Ici, un jeune homme est inquiet à l’idée de se lancer dans une confrontation qu’on imagine violente.
Galvanisé aussi parce qu’il sait que c’est ce qu’il veut profondément.
Durée : 30 secondes
Court-métrage : Campagne de publicité
J’étais ravie de réaliser cette publicité. Travailler pour une grande marque et tourner une publicité, c’est un accomplissement en tant que réalisatrice. Et puis en tant que meuf, travailler pour Gillette c’est top ! J’étais agréablement surprise par les scénarii, ils traitent de la représentation et la publicité en est un excellent vecteur. C’était cool de faire partie de ce projet.
Pour le film, j’ai voulu prendre un acteur qui soit représentatif de la société telle que je la perçois. Techniquement, j’ai utilisé le POV (point of view) comme procédé : la caméra devient les yeux de notre protagoniste. Cela permet de transmettre l’émotion, l’appréhension.
Dans ce film, j’ai voulu montrer quelque chose de positif : On appréhende beaucoup de choses dans la vie, on s’attend toujours au pire alors qu’il y a beaucoup positif.
Lucas a opté pour le rasoir Fusion5 pour affronter Goliath, car c’est un rasoir 5 lames très fiable qui procure des résultats de rasage impeccables et durables. La couche de gel Fusion5 ProGlide Hydratant forme un véritable film protecteur sur sa peau et il assouplit les poils pour les rendre plus faciles à raser.
Cette nouvelle plateforme stratégique 100% Française s’est nourrie de la culture d’aujourd’hui et pour lui donner vie à l’écran avec authenticité et pertinence, Gillette a fait le double choix de la jeunesse et du talent artistique.
L’école de cinéma Kourtrajmé, portée par Ladj Ly, a été approchée pour construire ensemble les contours de ce projet. Un vrai dialogue s’est établi entre l’école et la marque, pour définir ensemble des thématiques plus précises qui résonneront avec les questionnements des Français.
À travers ces moments, plusieurs notions émergent, encouragées par une marque qui croit fondamentalement que chaque homme peut tendre vers le meilleur de lui-même.
Et parce que la masculinité n’est pas qu’une histoire de mecs, parce que le talent prime sur le genre, deux des réalisateurs (Hadda & Bastienne) sont des « Kourtrajmeufs ».